Sylabus
Les courts-métrages documentaires
1) L’élite noire, Gérard de Boe, 1950, 16 min. Afrique 50, René Vautier, 1950, 17 min. Borrom Saret, Ousmane Sembène, 1963, 18 min. The Congo Dandies, Natalya Kadyrova, 2015 25 min.
2) Les statues meurent aussi, Alain Resnais, 1953, 30 min. Les Maîtres fous, Jean Rouche, 1955, 36 min.
3) Niaye, Ousmane Sembène, 1964, 30 min. Une nation est née, Paulin Soumanou Vieyra, 1961, 9 min. N'Diongane, Paulin Soumanou Vieyra, 1965, 18 min. Contras City, Djibril Diop Mambety, 1968, 21 min. Les Drames d’Afrique
4) Les tam-tam se sont tus, Philippe Mory, 1972, 80 min.
5) Touki Bouki, Djibril Diop Mambéty, 1973, 95 min. Les longs-métrages politiquement engagés
6) Emitai, Ousmane Sembène, 1971, 96 min.
7) Camp de Thiaroye, Ousmane Sembène, 1988, 150 min.
8) Indigènes, Rachid Bouchareb, 2006, 128 min.
9) Françafrique, Patrick Benquet, 2010, 160 min. La literature filmée
10) Johnny Mad Dog, Jean-Stéphane Sauvaire, 2008, 97 min.
11) Morituri, Okacha Touita, 2007, 116 min. L’attentat, Ziad Doueiri, 2013, 102 min.
12) Cahier d’un retour au pays natal, Philippe Bérenger, 2008, 69 min. Rue Cases-Nègres, Euzhan Palcy, 1983, 101 min.
Anotace
Une série de cours qui suivra l’histoire du cinéma africain francophone qui est une production assez jeune. Nous aborderons également des films de cinéastes européens qui représentent des aspects divers de l’Afrique d’une manière personnelle.
Nous visionnerons le premier film d’un producteur africain mais aussi des films contemporains. Le but principal du cours consiste à montrer les spécificités de ce cinéma et les thèmes qui préoccupèrent et continuent à préoccuper les réalisateurs venus d’Afrique subsaharienne.
Chaque projection sera précédée par une introduction et suivie d’une discussion.