L'article examine un processus d'esthétique fin de siècle, très présent chez Monsieur de Phocas de Jean Lorrain et consistant a gommer les frontières entre les catégories et qualités du sensible (sensibilia) et de l'intelligible (intelligibilia). Notre analyse est basée sur le concept de différence, qui le rapproche de nescio quid et entend entreprendre une sorte d'anatomie d'un des vecteurs de l'imaginaire et de la poétique de l'époque choisie.
Il propose alors une réponse a la question de savoir si les éléments constitutifs soit des structures binaires, soit des des ensembles plus grands nouent une relation d'opposition ou d'ambivalence, sinon d'ambiguïté.